EUR/CHF, et le Trump show continue…

Le franc suisse, encore très haut, trop haut pour Berne, reste tributaire des évènements contradictoires qui se succèdent à un rythme effréné depuis des semaines, proches de ses records. L’euro dollar, lui, a franchi brièvement les 1,15 EUR/USD, le temps d’un tweet. Les actions chutent, puis se reprennent avec des variations considérables. Les spécialistes sont perdus mais majoritairement sceptiques sur les chances de réussite de la politique de Donald Trump. Et ce qui semblait un bluff se termine en rétropédalage. Un « ouf » de soulagement pour les marchés.

Aparté

Le cours de change de l’EUR/CHF reste encore intéressant pour tous ceux qui doivent convertir leurs francs suisses en euros. L’occasion pour nous de vous annoncer l’ouverture de notre nouveau bureau de change et station services Ben S, à Chancy, près de la douane de Pougny. En téléchargeant l’application (anonyme) vous obtiendrez un taux de change « très gros montants » dès 1000 francs, et des réductions sur le carburant. Nous avons constaté qu’en ce moment avec l’application, chez Ben S l’essence est moins chère qu’en France pour les club members! Qui plus est, les règlements en euros se font à un taux beaucoup plus avantageux que n’importe où ailleurs. Alors commencez bien le week-end avec Ben s Club ! https://bens-shop-change.ch/

L’adulte dans la pièce

L’adulte dans la pièce, comme cite Anthony Bondain dans sa chronique matinale sur zone bourse : Scott Bessent, le secrétaire au trésor des Etats Unis, ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, chez Soros entre autres, a jugé intenable la situation douanière avec la Chine. Le président l’a finalement écouté et suivi, promettant une fin heureuse avec Pékin, et les marchés dans la tourmente se sont senti un peu rassurés. Lundi, la déroute des marchés financiers propulsait les cours de l’or à des niveaux stratosphériques. Donald Trump vilipendait Jerome Powell, le très estimé président de la FED, promettant de le virer d’une manière ou d’une autre et affirmant qu’il serait à l’origine de l’échec de sa politique. 

Le franc qui monte qui monte, et qui baisse…

Lundi

Dans la foulée, les cours de change du dollar américain fondaient à vue d’œil, jusqu’à atteindre 1,1540 EUR/USD, et 0,8050 USD/CHF. Les obligations américaines suivant le même chemin, il était temps de donner aux marchés un signal fort, afin d’éviter un krach.

Mardi, 

Face à la panique des marchés, Donald Trump revenait sur ses propos en soulignant qu’il ne licencierai pas le Président de la FED face à son refus de baisser rapidement les taux d’intérêt.  «A  very good guy » en somme. Puis il a reconnu que les taxes douanières de 145% à l’encontre des produits importés de Chine étaient très élevées et qu’elles seraient abaissées de manière substantielle. Il a promis une résolution très rapide de ce bras de fer et les marchés ont rebondit depuis mardi. Les cours de change du franc suisse cédaient dès lors du terrain face à l’euro et au dollar. Mais les cours du franc suisse restent élevés par rapport à l’euro et reculent lentement face au dollar. Un dollar américain valait tout de même 0,9200 USD/CHF le 14 janvier, avant de chuter drastiquement face aux politiques agressives du Président des Etats-Unis. A 0,8050 USD/CHF donc.

Merci Scott

Scott Bessent, est à ce qu’il semble le nouveau point de repère des marchés, l’homme d’expérience qui inspire confiance au seing du gouvernement Trump, tandis que le très remarqué Elon Musk s’éclipse pour réintégrer Tesla. L’embellie durera-t-elle ? Si oui, le franc suisse pourrait céder du terrain face à l’euro et au dollar.

Le marché obligataire demeure sceptique, les obligations restent chères, car le retournement de situation n’a pas fait disparaitre les risques d’inflation.  

D’où le maintient des cours de change du franc suisse. Qui pose un problème aux autorités et à l’économie suisse.

Franc suisse : Intervention en vue ?

Swissie, Le surnom du franc suisse.

Alors que l’industrie suisse s’inquiète du cocktail composé des droits de douanes à 31% d’une part d’un recul de la demande étrangère, et d’un franc suisse surcoté d’autre part, la BNS pourrait être contrainte à intervenir rapidement. Selon Jean-Philippe Kohl, de l’association industrielle Swissmem, le renchérissement excessif du franc suisse est la touche finale d’un cocktail empoisonné pour les industries suisses. La valorisation du franc suisse qui est principalement due aux incertitudes et aux revirements dans la politique américaine. Le franc suisse a progressé de 13% face au dollar en trois mois, ce qui constitue sa plus forte progression trimestrielle depuis la crise financière des subprimes. La hausse face à l’euro est beaucoup plus mitigée, puisque de 3,5% entre le 2 et le 10 avril, et a atteint son cours de change le plus élevé depuis 2015. L’euro franc suisse a repassé hier la résistance des 0,9400 EUR/CHF, suivant à contrario les bonnes performances des marchés.

Avis d’experts

La politique tarifaire américaine et le report des investisseurs sur le franc suisse inquiète également la BNS, qui tient à maintenir son objectif d’inflation contenue entre 0 et 2% et a faire baisser les couts des biens et services importés alors que l’inflation est presque nulle. Aussi, Swissmem espère une intervention de la Banque Nationale Suisse pour minorer les taux de change du franc suisse. Que ce soit en baissant les taux d’intérêt actuellement à 0,25%, ou en vendant des francs suisses pour affaiblir sa monnaie comme le suggère Thomas Stücki, ancien responsable gestion à la BNS, tous les moyens sont bons pour renforcer l’EUR/CHF et l’USD/CHF, et ramener le franc suisse dans les parages de la parité.

Chez Swiss RE, Patrick Saner, responsable de la stratégie croit également en une intervention si l’EUR/CHF atteint son cours de change plancher de 2015. 

Maxime Botteron, chef économiste d’UBS suppose que la BNS procède probablement déjà à des ventes épisodiques de francs suisses sur les marchés pour freiner la hausse de sa devise. La BNS a refusé de commenter ses propos ni ses intentions. Elle avait affirmé en avril, qu’elle se contentait d’intervenir pour garantir la stabilité des prix. Mais les décideurs suisses surveillent la paire EUR/CHF : La hausse du franc suisse par rapport à l’euro constitue 56% des importations suisses contre 14% en dollars américains. La maitrise du taux de change de l’EUR/CHF reste donc prioritaire. Mais la compétitivité des exportations suisses souffre d’un taux de change de l’EUR/CHF trop favorable au franc suisse.

Patrick Saner, responsable de la stratégie macroéconomique chez Swiss Re, a déclaré qu'une intervention était probable, d'autant plus que le taux de change effectif réel du franc a atteint son plus haut niveau depuis 2015.

Citons Patrick Saner : « La rapidité et l'ampleur de la récente remontée du franc suisse, en particulier depuis le 2 avril, augmentent considérablement les chances que la BNS considère que le moment est venu d'intervenir. Même si les considérations politiques ont leur importance, une intervention reste probable si la stabilité des prix est menacée. »

Influence de la BNS pour l’EUR/CHF

L’institution monétaire n’a acquis que 1,3 milliards de francs suisses en 2024 contre 125 milliards de francs en devises étrangères en 2023 pour lutter contre l’inflation en soutenant le franc suisse. D’après le directeur général des marchés mondiaux chez ING, Chris Turner, les marchés doutent et s’interrogent sur la capacité et les possibilités qu’a la BNS de racheter des devises étrangères à grande échelle alors qu’elle est sous les projecteurs de Washington. Pour cet expert, c’est ce qui dévalorise l’EUR/CHF et l’surtout l’USD/CHF sans aucun contrôle quand les marchés actions sont dans la tourmente. Il faut donc souhaiter une pause dans la valse des tweets tous azimuts qui plonge le monde de la finance dans l’incertitude. 

Donald Trump garde un œil ouvert

D’autant que Donald Trump en cas d’intervention suisse sur le marché des changes pourrait désigner à nouveau la BNS et la Suisse comme des manipulateurs de taux de change. Assorti d’un « very very bad guys » ? Cela pourrait bien à terme peser sur la croissance helvétique. A cette heure, Berne, prévoyant, semble chercher à renforcer ses liens avec ses partenaires commerciaux asiatiques et se rapproche avec succès de Pékin par l’intermédiaire d’Ignazio Cassis actuellement en visite en Asie.  Mais le ministre des affaires étrangères de rappeler diplomatiquement que la Suisse ne cherche pas à privilégier la Chine au détriment des Etats-Unis, tous deux partenaires commerciaux essentiels pour Berne.

Intervenir or not intervenir : That is the question

Le choix est donc cornélien pour la Banque Nationale Suisse, entravée par la vigilance américaine qui ne voit pas d’un bon œil l’achat de devises étrangère et la vente de francs suisses, et les établissements financiers et autres fonds de pensions réfractaires aux taux d’intérêts négatifs que nous avons connu jusqu’en 2022. Ces taux qui permettaient de maitriser les cours de change du franc suisse posent aujourd’hui question, devant le risque d’un retour de l’inflation.

L’EUR/CHF en (petite) hausse

Pour conclure ce chapitre, l’EUR/CHF est en progression grâce à celle, concomitante des marchés financiers. Mais l’autorité financière suisse reste vigilante et sa marge de manœuvre habituelle semble plus réduite qu’à l’accoutumée. Ces quinze derniers jours auront été tellurique pour les taux de change de l’EUR/CHF, et de belles occasions se sont présentée pour les traders et pour tous ceux d’entre vous désireux de convertir leurs francs suisses en euros. Ou en dollars.

La quinzaine de l’EUR/CHF

EUR/CHF

Nous nous sommes quittés par un beau vendredi ensoleillé avec une paire EUR/CHF dans la tourmente, à 0,9298 EUR/CHF. Trois jours plus tard, le 14 avril, la paire de devises buttait sur les 0,9248 EUR/CHF. L’EUR/CHF a ensuite subi des prises de bénéfices accentuées depuis que les investisseurs des marchés actions ont repris espoir. L’EUR/CHF a chuté une dernière fois lundi sur un support à 0,9280 EUR/CHF, mais progresse depuis 150 pips plus haut. Mardi en effet, le patron de la maison blanche s’est montré plus conciliant envers la Chine et le Patron de la FED. 

L’EUR/CHF semble se stabiliser et laisse une impression favorable pour investir sur les prises de risque et un cross bien orienté ce matin pour permettre le swapp entre francs suisses et euros. BCV recommande un range compris entre 0.9390 EUR CHF et 0,9450 EUR CHF et estime qu’une cassure à la hausse au-delà d’une résistance à 0,4500 EUR/CHF pourrait amener le cross directement à 0,9500 EUR/CHF. (Tweet compris ?)

Un consensus se dégage à présent parmi les experts qui penchent pour une hausse de la paire EUR/CHF. Mais il faut rester prudent face aux revirements possibles à Washington.

A l’heure à laquelle nous rédigeons ces lignes, convertir ses francs suisses en euros se fera sur la base d’un taux interbancaire de 0,9420 EUR/CHF, et la paire est donc susceptible de se diriger vers les 0.9500 EUR CHF.

USD/CHF

Le dollar que nous avions laissé à un cours de change de 0,8159 USD/CHF est descendu ce lundi à 0,8050 USD/CHF. C’était le meilleur moment de la semaine pour convertir des dollars américains en francs suisses. Nous aimerions pouvoir vous prévoir à l’avance ce type d’information, aussi, si quelqu’un parmi vous détient le numéro personnel de Donald Trump, n’hésitez pas à nous le communiquer sur www.bens-digital-change.com . Cette plaisanterie mise à part, tout comme pour l’EUR/CHF, l’USD/CHF est en pleine ascension, mais reste loin des 0,9000 USD/CHF du mois dernier. La confiance dans le billet vert s’est émoussée.

Jadis, le dollar, devise de référence était considérée comme indestructible, la politique actuelle pourrait remettre en question son rôle dominant absolu sur les marchés financiers. Les ventes de dollars américains et d’obligations d’état américaines pourraient bien être sans grand retour si l’administration Trump ne donne pas de garanties aux marchés financiers. Make dollar great again ?

En ce moment, convertir ses francs suisses en dollar s’effectue à un taux de 0,8290 USD/CHF sur les marchés des changes.

Pour tous ceux qui s’intéressent au taux de change du dollar, nous recommandons l’excellent article de The Economist. A quoi ressemblerait une crise du dollar, relaté par courrier international dont voici le lien : Dollar américain 

Marchés et commodités

Scott Bessent, secretaire au trésor semble être le fusible qui met un stop aux actions présidentielles et défini les limites à ne pas dépasser. C’est lui qui à présent rassure les milieux d’affaires et met un terme à la dégringolade des places financières.

Il aura plus de mal à convaincre les marchés obligataires car les rendements du 10 ans US et l’inflation demeurent coriaces. Les investisseurs en en outre été rassurés par les indices préliminaires PMI du secteur manufacturier et des services. Tout ou presque tourne encore autour des Etats-Unis, n’en déplaise à leurs détracteurs. Trump se veut optimiste sur la résolution par des accords des barrières douanières pour éviter une guerre commerciale.

Après avoir touché 15700 points, le Nasdaq a cloturé à 17166 points hier soir. Soit 9,50% plus haut. La semaine a été prolifique pour l’indice technologique. Le S&P500 est passé de 5110 à 5484 points et le Dow Jones de 37900 à 40093 points soit 6%. Tesla lundi soir était à 224 dollars cote à présent 257 dollars.  Nvidia qui avait chuté à 95 dollars l’action, loin de ses records a rejoint 106 dollars l’action. Mais la FED laisse espérer une baisse de taux dès le mois de juin ce qui mène à un assouplissement des marchés obligataires. Et les négociations reprennent entre USA et partenaires. Donc oui, c’est peut-être le bon moment pour convertir vor francs suisses en euros et en dollars.

SMI

Pour le SMI, Logitech a repris 10% cette semaine mais reste à -20% sur les dernières semaines. Roche, dont les succès technologiques se succèdent, notamment avec des technologies en rapport avec la prévention des crises cardiaques, annonce 50 milliards de francs suisses d’investissements aux Etats-Unis. Un petit succès pour la politique tarifaire de Donald Trump. L’action cote 261 francs suisses aujourd’hui à +2,23 mais perd 13% sur les deux dernières semaines.

Baloise et Helvetia fusionnent et deviennent le second groupe d’assureurs suisses.

Les résultats d’Holcim dépassent les attentes mais l’action n’a repris que 4%.

La bourse de Zürich progresse tout de même 500 points sur la semaine, à 11960 points.

Hydrocarbures

A 66 dollars le baril, il est temps de faire le plein à la station Ben Shop Change de Chancy. Les prix vont flamber. Rappelez-vous que nous nous étions quittés avec un baril à moins de 60 dollars dans la tourmente mais le plus bas boursier a peut-être été atteint le 8 avril. L’Agence Internationale de l’Energie a choisi ce mardi pour annoncer ses prévisions d’une baisse de la consommation en 2025, rassérénée cependant par l’assouplissement de la politique douanière américaine. Le WTI est à 62,50 $.

Le cours du gaz naturel est lui à 4,15 dollars le MWh, soit 10% plus cher qu’il y a quinzaine.

Or

Puisqu’il faut un gagnant et un perdant, l’or a joué son rôle avec un record absolu lundi, à 3500 dollars l’once. Le vreneli valait alors 530 francs suisses. Le kilo à 90650 francs suisses est encore bien coté, basé sur une once à 3300 dollars, loin des 3500 dollars de lundi. Le Vreneli reste à 512 francs suisse, solidement ancré sur la valeur du risque boursier qui néanmoins recule. L’or reste un investissement plus ou moins refuge si l’on considère la régularité de ses performances. Le prix du lingot d’or reste très supérieur au prix de l’or digital, comme nous allons le voir.

Crypto

Nous en profitons pour relayer une annonce du Président des Etats Unis : Les plus gros détenteurs de  $trump la cryptomonnaie de Donald Trump, seront invités à diner à la maison blanche. Le contribuable américain appréciera. La crypto qui avait progressé de 2000% après l’élection et s’était redégonflée d’autant, a progressé de 75% cette semaine. Le bitcoin ressuscité cotait lors de notre dernière analyse de la paire EUR/CHF à 81200 dollars. Il flotte ce vendredi au-dessus des 93500 dollars, soit 77660 francs suisses au cours de change moyen du jour. Un bond considérable auquel les crypto-monnaies nous ont habitué. 15,5% de hausse. J’espère que vous avez fais le plein de cryptos. Ethereum a progressé de 12,5% cette semaine et s’échange à 1470 dollars.

Comment négocier l’EUR CHF

UBS a proposé une stratégie de trading avec l’EUR/CHF après les mouvements qui viennent d’accélérer la volatilité des cours de change sur les marchés devises.

UBS voit des opportunités suite à la vente massive d’euro et surtout de dollars. Mais considère encore risqué de s’aventurer sur les trades de billets verts. La banque recommande de vendre l’EUR/CHF à la baisse, à contrecourant, donc, étant donné que le franc suisse s’est renforcé face aux devises étrangères. Mais il est resté très au-delà de 0,9260 EUR/CHF. Ses experts estiment que tant qu’il n’y aura pas de visibilité claire sur le contexte politique et économique, le franc suisse restera fort, puis se dirigera ensuite vers 0,9500 EUR/CHF.

Inflation, taux négatifs et EUR/CHF

La Banque a pareillement revisité ses estimations concernant les taux d’intérêt directeurs de la BNS, qui pour elle en juin devrait baisser de 0,25% ce dernier du fait d’une inflation qu’elle prévoit presque nulle. Si les prix de l’énergie repartaient à la hausse, ces prévisions deviendraient obsolètes, sauf à ce que le cours du franc suisse dépasse les 0,9500 EUR/CHF. 

Auquel cas les experts d’UBS considèrent que la BNS pourrait directement passer à des taux de change négatifs. Surtout si la Banque Centrale Européenne continuait sa politique d’assouplissement monétaire, réduisant l’écart de taux d’intérêts. Cela pèserait alors sur le cours de change de l’EUR/CHF. 

Si des accords étaient trouvés et entérinés au niveau mondial entre Washington et ses partenaires commerciaux, la dépréciation accélérée du franc suisse permettrait à la BNS de rester en territoire de taux positifs.

Cerise sur le gâteau, UBS n’exclue pas non plus une intervention de la BNS pour convertir des francs suisses en devises étrangères, le franc suisse étant considéré comme étant surévalué face à l’euro et au dollar. Mais osera t’elle face à D. Trump ? 

A Faire à Genève et environs ce week-end

Comme tous les dimanches, les officionados de randonnée pédestre se retrouvent à 9h45 au terminus du bus 8 à Veyrier-Douane, sur la Route du Pas de l'Echelle 111, 1255 Veyrier. Le responsable de l'Association Genevoise des Amis du Salève y guidera le groupe vers les hauteurs.

Sans d’inscription. En fonction du circuit choisi, comptez 5 à 8 heures de marche, dont 3 heures de montée (800 mètres de dénivelé).

A Genève. Au jardin des alpes, Les Balades Théâtralisées sont un spectacle historique immersif sous la forme de visites guidées.

Conçues pour des genevois de cœur ou de passage qui ont envie d’être surpris, et à la différence des reconstitutions traditionnelles, les émotions sont de la partie et les spectateurs aussi.

Vous découvrirez, dans de vraies scènes de théâtre en décor naturel, l’insolite caché dans les livres d’histoire.

Il reste à toute l’équipe de la rédaction de Ben S Solutions de Change et à moi-même, à vous souhaiter un excellent week-end sous le soleil de Genève. Nous nous retrouverons la semaine prochaine pour une nouvelle analyse hebdomadaire de la paire EUR/CHF. 

X.C.