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Spread de 100 pips pour l’EUR CHF
Bonjour à tous, La paire EUR CHF a surpris beaucoup d’experts ces derniers jours, alors que les taux de change s’accrochaient aux évènements de l’actualité et à la remontée du dollar face à l’euro. Le 12 décembre, la BNS avait surpris les marchés Forex en abaissant son taux directeur de 50 points de base. Un signal fort indiquant que la Banque Nationale Suisse n’était plus disposée à laisser les cours de change du franc suisse dériver à chaque soubresaut économique ou géopolitique. Le cours du franc suisse a donc cédé du terrain la semaine passée, tout comme le dollar américain. Terrain partiellement reconquis depuis.
恭喜发财
Alors qu’un beau Week-end ensoleillé s’annonce, sur les pistes comme en plaine, Ben S Solutions de Change souhaite une bonne année du serpent à tous ceux de nos lecteurs qui fêtent le nouvel an lunaire. 恭喜发财 en mandarin. Parmi les dizaines de devises étrangères disponibles dans nos bureaux de change, une recrudescence de la demande de Yuan Renminbi en début de semaine a amené Bens Shop and Change à regonfler ses stocks de monnaie chinoise. Cela tombait bien puisque le héros de la semaine boursière était chinois, DeepSeek qui a volé la vedette à Nvidia, le spécialiste des puces électronique et leader mondial. Le nouveau venu est arrivé avec un programme concurrent de Chat GPT, mais en open source. Le titre boursier Nvidia première capitalisation mondiale a plongé en début de semaine puisque les chinois sont parvenu à concocter l’équivalent de Chat GPT avec une fraction des moyens jusque-là nécessaires et à l’exploiter avec un dixième de la consommation d’énergie utilisée par l’IA d’OpenAI. Cela n’a eu que peu d’impact sur la paire EUR CHF et sur le marché des devises, mais un tremblement de terre a secoué les marchés financiers en début de semaine.
EUR CHF toujours au taquet.
Dans le même temps, en cette période de salaires, les habitués venus convertir leurs francs suisses en euros ont tenu le haut du pavé, loin devant les acquéreurs de devise chinoise bien sur, posant l’inlassable questions à nos spécialistes : L’EUR CHF va-t-il se maintenir à son niveau actuel ?
BNS et EUR CHF, sous contrôle
Les perspectives pour la paire EUR CHF restent incertaines. Les analystes surveillent deprès les politiques monétaires de la BNS et de la Banque centrale européenne, ainsi que les indicateurs économiques clés, pour anticiper les mouvements futurs du taux de change. Mais la réunion de la Banque Nationale Suisse reste éloignée, malgré les déclarations de ses dirigeants qui ne cachent pas leur détermination à empêcher le retour d’un franc suisse fort. Quoi qu’il le soit encore. Et comme le taux de change de l’euro a fini par se stabiliser face au taux de change du dollar, l’effort est moindre pour les dirigeants de l’institution qui intervient régulièrement sur les marchés des devises.
FED + BCE = 0 effet ?
Les évènements les plus attendues de la semaine étaient les décisions de politique monétaire des banques centrales américaine, mercredi, et européennes hier. Sans créer la surprise, l’une comme l’autre, puisque la FED n’a pas touché à ses taux d’intérêts, comme prévu, et a fait part de ses inquiétudes concernant l’évolution de l’inflation américaine. Provoquant ainsi l’ire de Donald Trump qui réclame une politique monétaire plus souple pour pouvoir appliquer son programme économique. Les taux de change du dollar américain n’ont donc pas beaucoup vacillé en conséquence. Quant à la BCE, elle a abaissé ses taux directeurs de 0,25%, comme attendu par les experts des marchés, mais l’effet sur l’EUR CHF n’a pas été porté à la baisse. La paire de devises s’est plutôt renforcée, l’euro tirant le franc suisse vers un cours pivot plus proche des 0,9500 EUR CHF de la semaine passée.
Trump and the USD CHF
La politique du président américain dont les effets sur l’inflation inquiètent le président de la FED, mènera les cours de change du dollar américain face aux principales devises étrangères vers des sommets si les craintes de la FED sont fondées. Dans le cas contraire, le dollar que de nombreux experts prévoyaient à parité avec l’euro pourrait ne pas tenir ses promesses.
Si les prévisions des analystes sur l’évolution du dollar fluctuent autant que ce dernier ces derniers jours, il leur est plus facile de s’orienter sur les cours de change de l’EUR CHF. La BNS a sorti l’épée du fourreau en décembre et envoyé un signal fort et clair pour freiner l’appréciation du franc suisse face à l’euro. L’EUR CHF est ainsi balloté sur un écart de 100 pips, mais il a progressé depuis le début de l’année de 0,9360 EUR CHF à 0.9515 EUR CHF en début de semaine avant de céder du terrain cette fin de semaine.
Et le franc suisse dans tout ça ?
La déclaration de Martin Schlegel, lundi à Davos n’est probablement pas étrangère à la hausse concomitante de l’EUR CHF ce lundi. Le président de l’autorité monétaire suisse a déclaré ne pas exclure un retour à des taux d’intérêt négatifs en Suisse afin de relancer l’économie par l’accession aux prêts de capitaux pour les particuliers et les entreprises. Mais également pour juguler à long terme l’utilisation du franc suisse comme devise refuge de réserve. La BNS s’appuie sur l’une des inflations les mieux maitrisées au monde : 0,6% au dernier pointage, dans la fourchette d’écart allant de 0 à 2% tolérés par la banque nationale, pour garantir la stabilité des prix à la consommation. Toutefois, la banque nationale ne souhaite pas en arriver à des taux négatifs, qui grèveraient son bilan.
Avis d’Expert
Kriss Beauchamp, stratège chez IG estime que pour empêcher le franc suisse d’atteindre des taux de change ingérables pour les exportations suisses, les interventions de la BNS sur les marchés devises et les signaux interventionnistes de l’institution suffiront à dissuader la spéculation. Martin Schlegel a par ailleurs confirmé les conclusions de l’expert sur la volonté de la BNS d’affaiblir le franc suisse au besoin. De toutes les manières nécessaires et à disposition de la BNS. Voilà qui tentera moins les investisseurs de conserver des francs suisses ou de convertir des devises étrangères en francs suisses. Seul, les flux basés sur le « carry trade » destinés à emprunter dans une devise dont le taux d’intérêt est bas pour investir dans une autre devise à taux élevé, pourrait échapper au contrôle de la BNS. Monsieur Schlegel a cependant rappelé dans son interview au micro de la SRF que la Banque Nationale Suisse n’aime pas les taux d’intérêt négatifs susceptibles de grever son bilan. La BNS a cette année utilisé ce bilan très positif pour accorder des subsides aux budgets des cantons et de la confédération. Dont leurs propres bilans ont pu ainsi être optimisés.
La semaine de l’EUR CHF
EUR CHF
Nous nous sommes quittés il y a une quinzaine de jours avec un franc suisse à 0,9391 EUR CHF. Ce n’est plus qu’un souvenir ému pour tous ceux d’entre vous qui ont besoin de convertir des francs suisses en euros car depuis, la paire de devises s’étiole entre 0,9400 EUR CHF et 0,9500 EUR CHF. L’EUR CHF a entamé la semaine lors de l’ouverture des marchés actions à 0,9480 EUR CHF après avoir été propulsée jusqu’à une résistance à 0.9515 EUR CHF durant les quotations du week-end. Les indicateurs des courbes financières ont ensuite faibli ce qui a limité la hausse à l’approche de la résistance de 0.9510. L’EUR CHF a ensuite fléchi avec un renforcement du franc suisse en milieu de semaine lors du rendu de la décision de politique monétaire de la FED atteignant un taux plancher de 0,9424. L’euro s’est ensuite repris pour quotter au milieu de la fourchette décrite plus haut. 0,9410 EUR CHF est le taux de change interbancaire qui sert pour le moment de support.
A l’heure à laquelle nous rédigeons ces lignes, l’euro s’échange à 0.9455 EUR CHF contre le franc suisse. La paire reste volatile dans cette fourchette.
Disgression et non diversion
La différence considérable entre les taux d’intérêt de la zone euro et de la Suisse réjouis la Banque Nationale Suisse dont l’action a momentanément permis qu’une baisse du franc suisse entraine la paire EUR CHF depuis quelques semaines. La décroissance du couple franco-allemand et les difficultés de la zones euro n’ont pas entrainé la dégringolade de l’euro, prévu par les experts. On a pu observer en milieu de semaine le léger impact de la réduction de l’écart de taux entre ceux très bas de la Suisse, à 0,50%, et celui de la zone euro ramené à 2,75%. Cette action, destinée à faciliter l’accès au crédit est censée favoriser la relance des économies européennes qui se sentent menacée par le nouveau locataire de la maison blanche. L’économie américaine attire les capitaux. Et l’instabilité politique en Europe, et notamment en France, ou il est question d’augmenter les impôts sur les sociétés, a tendance à chasser les capitaux. On notera la très rare intervention de Bernard Arnaud, le milliardaire patron d’LVMH, qui songe très sérieusement à expatrier son entreprise et ses biens outre-Atlantique. LVMH paye 45% de ses impôts en France et n’y réalise que 15% de son chiffre d’affaires. Le groupe fourni plusieurs milliards par an au budget de l’état français, et ce dernier qui cherche 20 milliards d’euros pourrait en perdre bien plus en augmentant les impôts des entreprises. L’instabilité dessert ceux qui la nourrissent. Les gouvernements français successifs paraissent être dans une impasse budgétaire alors même qu’ils sont dans l’obligation de réduire un déficit record. Comme en 1789 ? il na pas prévu pour le moment de convoquer les états généraux.
Moins léger
Plus sérieusement, avec de tels risques pesants sur l’économie européenne, la BNS aura bien du mal à maitriser la stabilité du cours de change du franc suisse, si les moteurs de l’Europe partent en cacahuète. Mais rien n’est joué, heureusement.
L’euro a l’avantage, structurellement, par le jeu des différences de taux d’intérêt entre les banques centrales, et le cout d’emprunt en euro et en francs suisses. Mais restons alertes. Le monde a rarement autant évolué.
USD CHF
Lundi matin, à l’ouverture des marchés, alors que l’annonce du succès du Chat GPT chinois : DeepSeek faisais plonger Nvidia, la première capitalisation mondiale, faisant mécaniquement la part belle à Apple qui lui a soufflé la place, la paire de devises USD CHF a subit une chute vertigineuse de 100 pips avant de rebondir à l’heure du repas. Repus, les traders qui avaient converti des francs suisses contre dollars américains à 0,8970 USD CHF ont pu dégager une belle marge jusqu’au lendemain. Les annonces de la maison blanche sur les surtaxes et la position forte de l’économie américaine, ainsi que la confirmation des doutes des dirigeants de la banque fédérale américaine sur les risques d’inflation sont probablement à l’origine de ce pic baissier sur la paire de devises. Le dollar américain a ensuite reculé régulièrement face au franc suisse toute la semaine.
Pour en revenir au bond du dollar ce lundi, le locataire de la maison blanche a pareillement déclaré que si les BRICS cherchaient une alternative au dollar américain, les pays qui abandonneraient l’usage du billet vert subiraient une surtaxe de 100% à l’importation. Le pic de la semaine atteint par le dollar correspond également à cette déclaration.
A cette heure, un franc suisse s’échange sur le marché interbancaire à un taux de change de 0,9110 USD CHF.
Marchés et commodités
Ainsi, l’énorme surprise pour les marchés que nous évoquions plus haut, a fait l’actualité économique de la semaine. Tombé de 142 dollars américain à 115 dollars, le titre Nvidia, première capitalisation mondiale a difficilement récupéré pour se fixer sur une quotation autour de 125 dollars. Le titre a vu 593 milliards de dollars effacés en une seule séance de quotations. Ce qui constitue la plus grande perte subie par une entreprise en un tel laps de temps dans l’histoire boursière.
DeepSeek est le nom que nous devons désormais retenir. Le Chat GPT chinois utilise nettement moins de ressources et de puissance de calcul pour un résultat dont les tests ont prouvé son équivalence face aux IA américaines. L’université de Berkeley a classé la version DeepSeek R1 parmi les 5 meilleurs agents conversationnels et premier programme open source. (en libre Accès). Une revanche de la Chine qui sort au moment ou les menaces du président Trump de monter les barrières douanières arrivent à maturité. Alors que les leaders des technologies de l’IA dépensent des centaines de milliards de dollars pour développer leurs produits, les financiers ont été troublé cette semaine par la faiblesse des moyens et sans s’appuyer sur Chats GPT et consorts qui ont produit un résultat comparable, d’où la chute du moteur des places financières américaines. Ces investissements étaient basés sur les promesses de revenus futur. Les secteurs touchés sont également tous ceux en rapport avec les développements de l’intelligence artificielle, très gourmands en énergie, tels que Siemens Energy dont le cours avait décuplé en deux ans et demi. Vistra, lui, dont le titre a presque décuplé en deux ans était coté 156 dollars la semaine passée. Il a servi d’appui pour des paris à découvert contre Nvidia et est remonté hier à la clôture à 176 dollars. Après avoir généré 6 milliards de dollars de profits.
Meta, Tesla, IBM et surtout Apple ont vu leur cours progresser à la suite de la publication de leurs résultats. ASML, lié à l’intelligence artificielle en Europe, mais le géant LVMH a déçu, contrairement à son pendant suisse Richemont, qui a ébloui le SMI.
Pour ce qui est des principaux indices, notons que depuis le début de l’année, l’indice large européen Stoxx Europe 600 a progressé de 6%.
Nous suivrons avec attention les résultats de ce nouveau venu.
SMI
Novartis, le géant de la santé annonce un bénéfice par action ordinaire en progression de 24% pour un montant de 7,81 francs suisses par action ordinaire et un dividende de 3,50 par action. Le chiffre d’affaires de l’entreprise a progressé de 12% pour dépasser les 50 milliards. Novartis cote à 95.70 francs suisses aujourd’hui.
Lonza (LONN.SW) annonce une contraction de son bénéfice et de son chiffre affaires pour l’an passé, suite à la contraction des ventes de sa division gélules et ingrédients de santé.
Le groupe entrevoit sa croissance avec optimisme malgré tout car il entame un remaniement organisationnel. Les dividendes et bénéfices des actionnaires ont baissé de 3% sur l’exercice passé ce qui n’est pas considérable mais suffit à décevoir à une époque d’exubérance boursière.
Logitech : Le fabricant de périphériques informatiques peut s’enorgueillir d’une fin d’année record. Le groupe relève ses prévisions pour 2025. Avec un bénéfice de 1,3 milliards de francs suisses et grâce à de bon positionnements aux Etats-Unis, à taux de change constant, les ventes progressent de 6%, avec une marge brute de 44%. Les données vont au-delà des attentes des analystes.
Marchés des hydrocarbures
Pétrole
Mauvaise nouvelle pour les pétroliers, meilleure pour le consommateur final. Ces 15 derniers jours, le prix du pétrole brut a reculé de 82 dollars à 76 dollars le baril ce jour. Donald Trump, encore lui, réclame un effort aux pays producteurs et cherche à faire baisser les prix du pétrole pour faire reculer l’inflation et doper l’économie américaine.
Hausse des stocks américains, droits de douane, le président américain veut relancer l’extraction d’hydrocarbure à marche forcée pour établir un leadership américain. Depuis fin 2022, les membres du cartel de l’OPEP+ organisent une raréfaction de l’offre à hauteur de 6 millions de barils par jour pour soutenir les prix. La réponse de l’OPEP à la demande de Donald Trump d’augmenter la production déterminera les prix à venir de l’or noir ces prochains jours. Pour le moment, c’est la demande qui est en légère augmentation.
Gaz
Après un pic à 4,25 à la mi-janvier, les cours du gaz sont redescendus à 3.05 dollars par MWh. Les consommateurs s’en réjouiront s’ils n’ont pas déjà rempli leur cuve.
Or
Record battu pour l’once qui a franchi les 2800 dollars. Depuis elle ne parvient plus à franchir ce cap, à 2795 dollar l’once aujourd’hui. Une belle envolée des cours, qui place le lingot d’un kilo à 81875 francs suisses. Contre 79185 il y a deux semaines. Le vreneli et son cousin français napoléon cotent 475 francs suisses, contre 457 il y a quinzaine. L’or reste très demandé, malgré la découverte de nouveau gisements.
Crypto monnaies
Tout comme les crypto monnaies qui repartent globalement à la hausse cette semaine, toujours autours des 100000 dollars (91100 francs suisses). Un bitcoin vaut actuellement 104000 dollars, soit 94800 francs suisses au cours de change moyen de ce vendredi. Parmi les milliers de altcoins qui se créent, il y en a une a fait sensation, le memecoin de Donald Trump (encore et toujours) qui a lancé sa propre monnaie digitale, a fait sensation. Le milliardaire président a lancé sa propre crypto monnaie qui a rapporté 6 milliards de dollars lors de son lancement (ICO), et a atteint 75$. Ce memecoin a depuis perdu les deux tiers de sa valeur pour se fixer aujourd’hui aux alentours de 25$.
Le flux des ETF basés sur les crypto monnaies, ces flux de capitaux adossés sur des crypto monnaies et détenus par des établissement financiers traditionnels ou des fonds de pensions, tels que Black Rock ou votre banque, atteignent désormais 660 milliards de dollars.
Dégraissage chez UBS
Début 2023, UBS nous avait annoncé 3000 suppressions d’emploi. Le géant bancaire met en œuvre son plan de restructuration. Déjà, des centaines de salariés à travers la Suisse, issus de tous les métiers de la banque ont pris le chemin des offices de l’emploi. Le chômage a augmenté de 10% en Suisse, alors que le nombre de frontaliers a lui-même progressé à Genève de plus de 20%. La pression sur le marché du travail est le fruit d’une situation conjoncturelle des entreprises suisses mais n’est en rien comparable avec celle de nos voisins. Le chômage reste gérable mais le flux croissant de frontaliers nouveaux arrivants qui crée une pression sur le marché de l’emploi pouvant générer des tensions. Reste à espérer que chacun gardera raison, car cette main d’œuvre généralement moins exigeante, a son rôle dans l’économie Suisse.
Soldes d’hiver et divers
Pour la petite actualité immédiate, rappelons que les soldes en France voisine sont en passe de se terminer ce mardi. Si vous voulez faire des affaires, de l’autre coté de la frontière, vous pouvez passer dans nos bureaux de change qui appliquent des taux de change extrêmement bas toute l’année, pour convertir vos francs en euros. De même, à Genève, elles se terminent aujourd’hui mais ne sont plus règlementées.
A faire à Genève et sa région ce week-end
Pour les amateurs, de nombreux escapes games ont lieu à Genève ce week-end. Vous trouverez toutes les informations sur le site de la ville de Genève.
Jusqu’à cet été, la piétonisation de la rue des Plantaporrêts donnera l’occasion à chacun de proposer ses idées de réaménagement, et de participer aux travaux et plantations sous l’égide de conseillers de la ville de Genève. Des ateliers vous accueilleront au fil des mois à venir.
Week-end au chalet
La semaine passée, nous parlions des stations de ski de France voisine. Cette semaine, le festival international de ballons de Château d’Oex vous transportera dans les airs, tous les jours jusqu’à dimanche ! Certes, un peu de route pour atteindre ce ravissement. N’hésitez pas à faire escale à Gruyère pour visiter la vielle ville et prendre une collation au bar « Allien ». https://www.festivaldeballons.ch/
Le trophée de Gastlosen à Jaunpass ne sera pas loin si vous désirez assister à la mythique compétition.
Pour la ballade, la féérie du chemin des lanternes à la station de Crans -Montana vous éclairera sur un parcours nocturne des œuvres luminaires, des spectacles enchanteurs et des concerts en plein air. Echappée poétique et romantique ! Toujours à Crans, si vous étes à Cran, essayez l’airbag, pour vous envoller dans les airs en toute sécuritée.
Plus proche, la FIS, Coupe du Monde de Ski Cross aura lieu à Veysonnaz ce week-end.
En France voisine, le festival Ughughugh : 1ère édition du rock’nshred vous accueille de 14h00 jusque tard dans la nuit. Alors sort ton perfecto du placard et rejoins les DJ sur les pistes. Forfait obligatoire.
L’évènement a lieu au Snowparkgb – secteur du Maroly
Domaine skiable alpin
74450 Le Grand-Bornand
X.C.